• Le Mont Saint Michel

    Le Mont en 1872

    Le plus ancien nom du mont est Munt Belenos, car il y avait à son sommet, un mégalithe dédié au Dieu gaulois Belen, puis il fut nommé Mont Gargan, car Gargantua est le fils de Gargamel & Grangousier, créés par Merlin avec : des os de baleine…, c'est-à-dire de Belen-os / Belenos. Au VIIIème siècle, le mont n'était pas une île, mais au milieu de la forêt de Scilly. Or à la fin du VIIIème siècle, un raz de marée (appelé plus tard : La Transgression Flandrienne) transforma le mont en île, il fut dès lors surnommé le Mont Tombe, du fait de la christianisation, qui voulait éradiquer tout ce qui était attaché à l'ancienne religion gauloise.

    Avant le rattachement de la Normandie par la France, le pèlerin français se reconnaissait par le port d'une coquille Saint Jacques, le pèlerin normand lui, l'était par son toupet de Ganawriggét: "genévrier" (en vraie langue normande).

     

    Légende gauloise :

    Gargantua passant par les îles normandes de l'West, des cailloux dedans ses chausses le gênant, il s'assit à Carolles (Cotentin), se déchaussant, il extirpa un gravier qui est devenu depuis la Roche de Gargantua (au dessus d'Avranches), et un autre qui devint le Mont-Besneville (canton de Saint-Sauveur-le-Vicomte, Manche). C'est de là, à Port-du-Sud, que passant de Normandie en Bretagne en trois pas, il sema à chaque pas 1 caillou, qui sont : Tombelaine, le Mont-Saint-Michel (ex. Mont-Gargan), et en Bretagne le Mont-Dol. 

     

    Histoire :

    Les frontières de l'Avranchin allaient jusqu'à Saint-Malo (de Maclow, moine gallois du VIème siècle, installé sur l'île en 541), à l'origine Alet, ancien centre maritime des Ambibarii de l'Avranchin, fraction des Unellii du Cotentin. Sans oublier Cancale qui naguère relevait de la paroisse et payait sa dîme au Mont-Saint-Michel.  

    Pour anecdote : La Chanson d'Aquin / Aiquin (de 1170/90, seule chanson de geste bretonne) décrit le siège d'Alet par Karlmagnus / Charlemagne, occupée et défendue par les Norrois (Normands), parfois appelés Sarrasins… (par les chroniqueurs français de l'époque, pour les dévaloriser encore plus). 

     


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